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Auteurs,
par ordre alphabétique http://www.philagora.net/frindex.htm
MALLARME (1894) PETIT
AIR ou ... LE BAIN
Quelconque
une solitude
Sans le cygne ni le quai
Mire sa désuétude
Au regard que j'abdiquaiIci de la gloriole
Haute à ne la pas toucher
Dont maint ciel se bariole
Avec les ors de coucher
Mais langoureusement
longe
Comme de blanc linge ôté
Tel fugace oiseau si plonge
Exultatrice à côté
Dans l'onde toi
devenue
Ta jubilation nue. |
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Détournant son regard d'un paysage qui l'ennuie, Mallarmé regrette
la ville, le quai et le "Cygne", symbole du départ et du poète: l'oiseau
divin.
Quand la femme enlève le blanc linge qui la vêt, l'auteur échappe à
l'ennui dans le jaillissement de la splendide et gracieuse nudité.
Il rêve d'un oiseau blanc créateur qui s'envolerait le long de la courbure
des rives pour plonger près de la baigneuse aimée dont la liberté exulte...
(Joseph)
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La liberté de la baigneuse, qui jubile en se mêlant
à la fluidité, réjouit le regard de l'amant et lui rappelle la présence de son bonheur
grâce à la femme qui est ainsi reconnue comme sa muse, la médiatrice. Aller à: Valéry, "Les Pas"
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